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Koevoet D, Deschamps PKH, Kenemans JL. Catecholaminergic and cholinergic neuromodulation in autism spectrum disorder: A comparison to attention-deficit hyperactivity disorder. Front Neurosci 2023; 16:1078586. [PMID: 36685234 PMCID: PMC9853424 DOI: 10.3389/fnins.2022.1078586] [Citation(s) in RCA: 4] [Impact Index Per Article: 4.0] [Reference Citation Analysis] [Abstract] [Key Words] [Track Full Text] [Journal Information] [Subscribe] [Scholar Register] [Received: 09/05/2022] [Accepted: 12/15/2022] [Indexed: 01/09/2023] Open
Abstract
Autism spectrum disorder (ASD) is a heterogeneous neurodevelopmental disorder characterized by social impairments and restricted, repetitive behaviors. Treatment of ASD is notoriously difficult and might benefit from identification of underlying mechanisms that overlap with those disturbed in other developmental disorders, for which treatment options are more obvious. One example of the latter is attention-deficit hyperactivity disorder (ADHD), given the efficacy of especially stimulants in treatment of ADHD. Deficiencies in catecholaminergic systems [dopamine (DA), norepinephrine (NE)] in ADHD are obvious targets for stimulant treatment. Recent findings suggest that dysfunction in catecholaminergic systems may also be a factor in at least a subgroup of ASD. In this review we scrutinize the evidence for catecholaminergic mechanisms underlying ASD symptoms, and also include in this analysis a third classic ascending arousing system, the acetylcholinergic (ACh) network. We complement this with a comprehensive review of DA-, NE-, and ACh-targeted interventions in ASD, and an exploratory search for potential treatment-response predictors (biomarkers) in ASD, genetically or otherwise. Based on this review and analysis we propose that (1) stimulant treatment may be a viable option for an ASD subcategory, possibly defined by genetic subtyping; (2) cerebellar dysfunction is pronounced for a relatively small ADHD subgroup but much more common in ASD and in both cases may point toward NE- or ACh-directed intervention; (3) deficiency of the cortical salience network is sizable in subgroups of both disorders, and biomarkers such as eye blink rate and pupillometric data may predict the efficacy of targeting this underlying deficiency via DA, NE, or ACh in both ASD and ADHD.
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Affiliation(s)
- Damian Koevoet
- Experimental Psychology, Helmholtz Institute, Utrecht University, Utrecht, Netherlands,*Correspondence: Damian Koevoet,
| | - P. K. H. Deschamps
- Department of Psychiatry, University Medical Center Utrecht, Utrecht, Netherlands
| | - J. L. Kenemans
- Experimental Psychology, Helmholtz Institute, Utrecht University, Utrecht, Netherlands
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Antipsychotiques : quand et comment les prescrire ? Rev Med Interne 2017; 38:328-336. [DOI: 10.1016/j.revmed.2016.12.007] [Citation(s) in RCA: 0] [Impact Index Per Article: 0] [Reference Citation Analysis] [Track Full Text] [Journal Information] [Subscribe] [Scholar Register] [Received: 09/30/2016] [Accepted: 12/17/2016] [Indexed: 11/23/2022]
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Bonnot O. Mieux prescrire les psychotropes chez l’enfant et l’adolescent. Eur Psychiatry 2015. [DOI: 10.1016/j.eurpsy.2015.09.020] [Citation(s) in RCA: 0] [Impact Index Per Article: 0] [Reference Citation Analysis] [Abstract] [Track Full Text] [Journal Information] [Submit a Manuscript] [Subscribe] [Scholar Register] [Indexed: 10/22/2022] Open
Abstract
Les cliniciens français restent majoritairement prudents et attentifs aux recommandations concernant la prescription de médicaments psychotropes chez l’enfant et l’adolescent, mais celle-ci augmente depuis quelques années. Antipsychotiques, antidépresseurs, mais aussi psychostimulants, mélatonine, ocytocine… la palette s’élargit, les indications se diversifient et les effets indésirables sont de mieux en mieux étudiés. Afin d’apporter aux praticiens des informations concrètes et démontrées, pour les aider dans leur appréciation du rapport « bénéfices–risques » d’une prescription médicamenteuse, la Société française de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent (SFPEADA) propose, au cours de cette rencontre avec l’expert, le Professeur Olivier Bonnot (Nantes) :– dans un premier temps une mise au point sur les données actualisées et démontrées pouvant être utiles aux médecins amenés à prescrire chez des jeunes de moins de 18 ans : indications, AMM, éléments pouvant guider vers le choix de telle ou telle molécule au sein d’une même famille thérapeutique, examens à pratiquer avant mise sous traitement et modalités de surveillance en pratique clinique, mesures d’accompagnement de la prescription, articulation avec les autres formes d’interventions thérapeutiques… ;– dans un second temps une discussion avec les participants sous la forme « questions–réponses » et de « partage d’expériences ».
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Bonnot O. Psychotropes chez l’enfant et l’adolescent : données actualisées; questions-réponses. Eur Psychiatry 2014. [DOI: 10.1016/j.eurpsy.2014.09.205] [Citation(s) in RCA: 0] [Impact Index Per Article: 0] [Reference Citation Analysis] [Abstract] [Track Full Text] [Journal Information] [Submit a Manuscript] [Subscribe] [Scholar Register] [Indexed: 10/24/2022] Open
Abstract
Bien que les cliniciens français restent majoritairement prudents et attentifs aux recommandations concernant la prescription de médicaments psychotropes chez l’enfant et l’adolescent, celle-ci augmente depuis quelques années. Antipsychotiques, antidépresseurs, mais aussi psychostimulants, mélatonine, ocytocine…la palette s’élargit, les indications se diversifient et les effets indésirables sont de mieux en mieux étudiés. Afin d’apporter aux praticiens des informations concrètes et démontrées, pour les aider dans leur appréciation du rapport « bénéfices-risques » d’une prescription médicamenteuse, la Société française de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent (SFPEADA) propose, au cours de cette rencontre avec l’expert :– dans un premier temps une mise au point sur les données actualisées et démontrées pouvant être utiles aux médecins amenés à prescrire chez des jeunes de moins de 18 ans : indications, AMM, éléments pouvant guider vers le choix de telle ou telle molécule au sein d’une même famille thérapeutique, examens à pratiquer avant mise sous traitement et modalités de surveillance en pratique clinique, mesures d’accompagnement de la prescription, articulation avec les autres formes d’interventions thérapeutiques…– Dans un second temps une discussion avec les participants sous la forme « questions-réponses » et de « partage d’expériences ».La rencontre avec l’expert sera modérée par le professeur Jean-Philippe Raynaud (Toulouse), président du conseil scientifique de la SFPEADA.
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Petron-Bardou C, Bardot V. Iatrogénie des psychotropes chez l’enfant et l’adolescent. Eur Psychiatry 2014. [DOI: 10.1016/j.eurpsy.2014.09.074] [Citation(s) in RCA: 0] [Impact Index Per Article: 0] [Reference Citation Analysis] [Abstract] [Track Full Text] [Journal Information] [Submit a Manuscript] [Subscribe] [Scholar Register] [Indexed: 11/29/2022] Open
Abstract
Les psychotropes ayant obtenu une autorisation de mise sur le marché chez l’enfant et l’adolescent sont essentiellement des anciennes molécules aux indications limitées. En effet, les études sur la iatrogénie des psychotropes en population pédiatrique restent peu nombreuses et les résultats d’études en population adulte ne sont pas toujours extrapolables chez l’enfant.Le métabolisme de l’enfant et de l’adolescent étant différent, la pharmacocinétique des molécules utilisées différerait entraînant une moins bonne tolérance. Les effets indésirables sont ainsi plus fréquents qu’en population adulte notamment le syndrome métabolique et les troubles endocriniens comme l’hyperprolactinémie secondaire à la prise d’antipsychotiques.Les effets indésirables les plus fréquemment observés lors de la prescription d’antipsychotiques regroupent la sédation, la prise de poids, les dyskinésies tardives et l’hyperprolactinémie. Cette iatrogénie peut majorer à long terme les risques de maladie cardiovasculaires ou d’ostéoporose. Les auteurs proposent un ajustement de ces traitements et une surveillance spécifique pour une meilleure prévention des risques ultérieurs.La prescription d’antidépresseurs repose sur une évaluation du ratio bénéfice-risque lorsque la psychothérapie seule (thérapeutique de première intention) est jugée inefficace. Le principal risque iatrogène rapporté est alors la faible augmentation du risque de passage à l’acte suicidaire. L’usage des anxiolytiques, notamment des benzodiazépines doit être limité dans cette population face aux risques d’accoutumance, d’effet désinhibiteur et de troubles mnésiques associés.La prescription de psychotropes chez l’enfant ou l’adolescent s’inscrit donc dans une prise en charge globale. L’information du patient et de ses parents est essentielle. Une surveillance somatique et psychiatrique étroite permettra une prise en charge précoce de tout effet iatrogène, garantissant ainsi une meilleure adhésion à long terme et la prévention d’effets iatrogènes à révélation ultérieure. La monothérapie doit être privilégiée et sa pertinence régulièrement questionnée.
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Lecardeur L, Benarous X, Milhiet V, Consoli A, Cohen D. [Management of bipolar 1 disorder in children and adolescents]. Encephale 2014; 40:143-53. [PMID: 24656684 DOI: 10.1016/j.encep.2014.02.006] [Citation(s) in RCA: 7] [Impact Index Per Article: 0.7] [Reference Citation Analysis] [Abstract] [Key Words] [Track Full Text] [Journal Information] [Subscribe] [Scholar Register] [Received: 01/20/2014] [Accepted: 02/17/2014] [Indexed: 11/15/2022]
Abstract
Lifetime prevalence of child and adolescent bipolar 1 disorder (BD1) is nearly 0.1 %. Even though it is not a frequent disorder in young people, there is an increased interest for this disorder at this age, because of the poor outcome, the severe functional impairments and the major risk of suicide. Diagnosis is complex in view of the more frequent comorbidities, the variability with an age-dependant clinical presentation, and the overlap in symptom presentation with other psychiatric disorders (e.g. disruptive disorders in prepubertal the child and schizophrenia in the adolescent). The presentation in adolescents is very similar to that in adults and in prepubertal children chronic persistent irritability and rapid mood oscillation are often at the foreground. For a while, such presentations were considered as BD-not otherwise specified (BD-NOS), which can explain the outburst of the prevalence of bipolar disorder in children in the US. Longitudinal studies that look for the outcome of such emotional dysregulations have not revealed an affiliation with bipolar disorder spectrum, but with depressive disorders in adulthood. The diagnosis of Disruptive Mood Dysregulation Disorder was proposed in the DSM-5 to identify these children and to prevent confusion with bipolar disorder. The goals of the pharmacological and psychosocial treatments are to control or ameliorate the symptoms, to avoid new episodes or recurrences, to improve psychosocial functioning and well-being, and to prevent suicide. In the US, lithium and four atypical antipsychotics have been approved by the FDA for 10 to 13-year-olds (risperidone, olanzapine, aripiprazole and quetiapine). In France, only lithium salts (after the age of 16) and aripiprazole (after the age of 13) are recommended. Psychosocial treatments, such as a familial or individual approach are developing.
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Affiliation(s)
- L Lecardeur
- Équipe mobile de soins intensifs, centre Esquirol, CHU de Caen, avenue Côte-de-Nacre, 14033 Caen, France; CNRS, UMR 6301 ISTCT, ISTS group, GIP CYCERON, 14074 Caen, France; CEA, DSV/I2BM, UMR 6301 ISTCT, 14074 Caen, France; Université de Caen Basse-Normandie, UMR 6301 ISTCT, 14074 Caen, France.
| | - X Benarous
- Service de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent, hôpital Pitié-Salpêtrière, AP-HP, 75651 Paris cedex 13, France
| | - V Milhiet
- Service de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent, hôpital Pitié-Salpêtrière, AP-HP, 75651 Paris cedex 13, France
| | - A Consoli
- Service de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent, hôpital Pitié-Salpêtrière, AP-HP, 75651 Paris cedex 13, France
| | - D Cohen
- Service de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent, hôpital Pitié-Salpêtrière, AP-HP, 75651 Paris cedex 13, France; CNRS UMR 7222, institut des systèmes intelligents et robotiques, université Pierre-et-Marie-Curie, 75252 Paris cedex 05, France
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Menard ML, Askénazy F, Auby P, Bonnot O, Cohen D. [Safeguarding the prescription of antipsychotics in the paediatric population: A French multicentric study in a treatment naïve population]. Encephale 2013; 39:313-4. [PMID: 23809174 DOI: 10.1016/j.encep.2013.03.005] [Citation(s) in RCA: 3] [Impact Index Per Article: 0.3] [Reference Citation Analysis] [Track Full Text] [Journal Information] [Subscribe] [Scholar Register] [Indexed: 11/26/2022]
Affiliation(s)
- M-L Menard
- Service universitaire de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent, hôpitaux pédiatriques de Nice, CHU Lenval, 57, avenue de la Californie, 06200 Nice, France.
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Consoli A, Cohen D. Symptomatologie d’allure maniaque chez l’enfant : problèmes diagnostiques et controverse actuelle. ACTA ACUST UNITED AC 2013. [DOI: 10.1016/j.neurenf.2012.10.002] [Citation(s) in RCA: 5] [Impact Index Per Article: 0.5] [Reference Citation Analysis] [Track Full Text] [Journal Information] [Subscribe] [Scholar Register] [Indexed: 10/27/2022]
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