Principles of Human Teratology: Drug Chemical and Infectious Exposure

Can oxybenzone cause Hirschsprung's disease?

Oxybenzone is a ultraviolet (UV) absorber used in 70% of sunscreen products, is a recognized endocrine disrupting chemical (EDC) and is small enough to pass through skin and placenta barriers. Numerous studies have identified this chemical in the urine/blood of pregnant women as well as in fetal and umbilical cord blood. A recent study demonstrated that women with medium to high levels of oxybenzone in their urine was associated with giving birth to neonates with Hirschsprung's Disease (HSCR). Testing in human cell lines confirmed that low levels of oxybenzone has the potential to disrupt cell migration and function in a manner similar to what is associated with HSCR. Analysis of human exposure levels to oxybenzone from sunscreen use, under normal conditions, demonstrates that enough chemical can cross into the mother's blood making it available to the fetus at high enough levels that can indeed inhibit migration of neural crest cells during critical embryonic development.

Interventions et techniques de diagnostic prénatal visant l'obtention d'un prélèvement fœtal à des fins diagnostiques : Risques et avantages pour la mère et le fœtus

OBJECTIF

Offrir aux fournisseurs de soins de maternité et à leurs patientes des lignes directrices factuelles contemporaines en ce qui concerne les services de counseling traitant des risques et des avantages maternels propres à la tenue des interventions diagnostiques prénatales orientées par échographie (et/ou des techniques permettant l'établissement d'un diagnostic génétique) nécessaires dans les cas où il a été établi pendant la période prénatale que la grossesse serait exposée à des risques, ainsi qu'en ce qui concerne la prise de décisions subséquentes quant à la prise en charge de la grossesse (questions abordant des aspects tels que le niveau du fournisseur de soins obstétricaux, la surveillance prénatale, le lieu où devraient se dérouler les soins et l'accouchement, et la décision de poursuivre ou d'interrompre la grossesse). La présente directive clinique se limite aux services de counseling traitant des risques et des avantages maternels, et aux décisions en matière de prise en charge de la grossesse pour les femmes qui nécessitent (ou qui envisagent) la mise en œuvre d'une intervention ou d'une technique effractive orientée par échographie aux fins de l'établissement d'un diagnostic prénatal.

POPULATION DE PATIENTES

Femmes enceintes identifiées, à la suite de la mise en œuvre de protocoles établis de dépistage prénatal (taux sériques maternels ± imagerie, résultats d'analyse de l'ADN acellulaire indiquant des risques élevés, résultats anormaux au moment de l'imagerie fœtale diagnostique ou antécédents familiaux de troubles héréditaires), comme étant exposées à un risque accru d'anomalie génétique fœtale. Ces femmes pourraient nécessiter ou demander des services de counseling au sujet des risques et des avantages pour la grossesse de la tenue d'une intervention effractive orientée par échographie visant à déterminer l'étiologie, le diagnostic, et/ou la pathologie de possibles anomalies fœtales. RéSULTATS: La littérature publiée a été récupérée par l'intermédiaire de recherches menées dans Medline, PubMed et The Cochrane Library jusqu'en juin 2014 au moyen d'un vocabulaire contrôlé (« prenatal diagnosis », « amniocentesis », « chorionic villi sampling », « cordocentesis ») et de mots clés (« prenatal screening », « prenatal genetic counselling », « post-procedural pregnancy loss rate ») appropriés. Les résultats ont été restreints aux analyses systématiques, aux études observationnelles et aux essais comparatifs randomisés / essais cliniques comparatifs publiés en anglais entre janvier 1985 et juin 2014. Les recherches ont été mises à jour de façon régulière et intégrées à la directive clinique jusqu'en juin 2014. La littérature grise (non publiée) a été identifiée par l'intermédiaire de recherches menées dans les sites Web d'organismes s'intéressant à l'évaluation des technologies dans le domaine de la santé et d'organismes connexes, dans des collections de directives cliniques, dans des registres d'essais cliniques et auprès de sociétés de spécialité médicale nationales et internationales.

VALEURS

La qualité des résultats a été évaluée au moyen des critères décrits dans le rapport du Groupe d'étude canadien sur les soins de santé préventifs (Tableau 1). AVANTAGES, DéSAVANTAGES ET COûTS: Consentement éclairé de la patiente, transfert des connaissances, évaluation du risque génétique prénatal, soulagement de l'anxiété, création d'anxiété, défense des droits, compréhension du dépistage fœtal, limites du dépistage fœtal, choix en matière de prise en charge de la grossesse, complication de la grossesse ou fausse couche, soins opportuns et améliorés pour l'accouchement d'un enfant présentant une morbidité reconnue. RECOMMANDATIONS.

Facteurs génétiques à prendre en considération dans le cadre de l'examen gynécologique annuel

OBJECTIF

Offrir aux médecins un survol des troubles génétiques courants qui devraient être pris en considération dans le cadre de l'examen gynécologique annuel d'une patiente, et ce, afin de déterminer le risque que court celle-ci ou d'en venir à procéder à des examens particuliers ou à orienter la patiente vers un autre service de sous-spécialité, en fonction de ses antécédents personnels ou familiaux.

OPTIONS

Ces renseignements d'ordre génétique peuvent être utilisés aux fins de la sensibilisation des patientes et du dépistage ou du diagnostic de possibles maladies et/ou mutations.

ISSUES

L'utilisation de ces renseignements d'ordre génétique pourrait mener à l'amélioration de l'évaluation des risques et des avantages et à celle de la prise en charge dans le cadre de l'examen gynécologique annuel. RéSULTATS: Les études publiées en anglais, jusques et y compris en mai 2010, ont été récupérées par l'intermédiaire de recherches menées dans PubMed et la Cochrane Library au moyen d'un vocabulaire contrôlé (« gynaecological diagnosis », « genetic inheritance ») et de mots clés (« genetic risk », « genetic mutation », « inheritance », « family history », « uterus », « ovary », « endometrial », « vagina », « colon », « gastric », « renal », « breast », « cardiac », « thrombophilia », « diabetes », « epilepsy », « leiomyomata uteri ») appropriés. D'autres sources ont été identifiées par l'intermédiaire de recherches menées dans les sites Web d'organismes s'intéressant à l'évaluation des technologies dans le domaine de la santé et d'organismes connexes, dans des collections de directives cliniques, dans des registres d'essais cliniques et auprès de sociétés de spécialité médicale nationales et internationales.

VALEURS

Le niveau des résultats ne permet pas la formulation de recommandations factuelles. AVANTAGES, DéSAVANTAGES ET COûTS: La présente opinion de comité améliorera l'utilisation de nouvelles connaissances génétiques et leur application aux soins gynécologiques offerts annuellement aux femmes. Les occasions de gestion du risque et de diagnostic, pour ce qui est des troubles gynécologiques génétiques, s'en trouveront améliorées. Une compréhension plus exhaustive des troubles génétiques pourrait entraîner une hausse de l'anxiété et du stress psychologique chez les femmes et les membres de leur famille.

COMMANDITAIRE

Société des obstétriciens et gynécologues du Canada.

RECOMMANDATIONS

Le niveau des résultats ne permet pas la formulation de recommandations factuelles.

Retinoic Acid Embryopathy

Isotretinoin is a retinoid which is derived from Vitamin A. It is indicated for severe cystic acne treatment, but it has been classified as teratogenic. A wide spectrum of birth defects including craniofacial, heart, and nervous system malformations have been described with prenatal exposure to this drug. We report the case of a newborn with a history of prenatal exposure to isotretinoin with craniofacial defects, including left-sided anotia, right-sided microtia, complex congenital heart disease, and central nervous system malformation.

Psychopharmacoteratophobia: Excessive fear of malformation associated with prescribing psychotropic drugs during pregnancy: An Indian perspective

“Psychopharmacoteratophobia is the fear or avoidance of prescribing psychotropic medicine to a pregnant woman on a given indication in anticipation of fetal malformation.” It is rooted in the tragedy associated with thalidomide use and is increasing due to the inability to predict accurately, strict legal provision of consumer protection, ethical and legal issues involved, and pitfalls in the available evidence of teratogenicity. In the Indian setting, the physicians face more challenges as the majority of the patients may ask them to decide, what is the best for their health. Most guidelines emphasize more on what not to do than what to do, and the locus of decision is left to the doctor and the patient. In this review, we have focused on relevant issues related to psychopharmacoteraophobia that may be helpful to understand this phenomenon and help to address the deprivation of a mentally ill woman from the required treatment.

Maternal pre-pregnancy body mass index and risk of selected birth defects: evidence of a dose-response relationship

BACKGROUND

This study investigates the relationship between maternal pre-pregnancy body mass index (BMI) and 26 birth defects identified through the Florida Birth Defects Registry.

METHODS

Pre-pregnancy BMI (kg/m(2)) was categorised into underweight (<18.5), normal weight (18.5-24.9), overweight (25.0-29.9), and obese (≥30.0) among Florida resident mothers without pre-gestational diabetes who gave birth to singleton infants from March 2004 through December 2009. Obesity was classified as obese I (30.0-34.9), obese II (35.0-39.9), and obese III (≥40.0). Logistic regression was used to calculate the adjusted odds ratios and 95% confidence interval, representing the association between pre-pregnancy BMI and each of the 26 specific birth defects (and an 'any birth defect' composite). Models were adjusted for maternal age, race/ethnicity, education, smoking, marital status, and nativity.

RESULTS

The livebirth prevalence of any birth defect increased with increasing BMI, from 3.9% among underweight women to 5.3% among obese III women (P < 0.001). Results show a direct dose-response relationship between maternal pre-pregnancy BMI and 10 defects under study (cleft palate without cleft lip, diaphragmatic hernia, hydrocephalus without spina bifida, hypoplastic left heart syndrome, pulmonary valve atresia and stenosis, pyloric stenosis, rectal and large intestinal atresia/stenosis, transposition of great arteries, tetralogy of Fallot, and ventricular septal defects) and the 'any birth defect' category. Conversely, gastroschisis exhibited a statistically significant inverse relationship with pre-pregnancy BMI.

CONCLUSIONS

This study provides evidence of the increasing risk of birth defect-affected pregnancy with increasing pre-pregnancy obesity. Reducing pre-pregnancy obesity, even among obese women, may reduce the occurrence of birth defects.

Genetic considerations for a woman's annual gynaecological examination

OBJECTIVE

To provide the physician with an overview of common genetic conditions that should be considered during a women's annual gynaecological assessment to determine the patient's risk or to initiate specific testing or referral to another subspecialty service, depending on personal or family history.

OPTIONS

This genetic information can be used for patient education and possible disease and/or mutation screening or diagnosis.

OUTCOMES

The use of this genetic information may allow improved risk-benefit assessment and management at the annual gynaecological examination.

EVIDENCE

Studies published in English up to and including May 2010 were retrieved through searches of PubMed and the Cochrane Library, using appropriate controlled vocabulary (gynaecological diagnosis, genetic inheritance) and key words (genetic risk, genetic mutation, inheritance, family history, uterus, ovary, endometrial, vagina, colon, gastric, renal, breast, cardiac, thrombophilia, diabetes, epilepsy, leiomyomata uteri). Other literature sources were identified through searching the web sites of health technology assessment and health technology assessment-related agencies, clinical practice guideline collections, clinical trial registries, and national and international medical specialty societies.

VALUES

The levels of evidence are not adequate for evidence-based recommendations to be made.

BENEFITS, HARMS, AND COSTS

This committee opinion will enhance the use of new genetic knowledge and its application to the annual gynaecological care of women. Risk management and diagnostic opportunities for genetic gynaecological conditions will be improved. A more complete understanding of genetic conditions may increase anxiety and psychological stress for women and their families.

SPONSORS

Society of Obstetricians and Gynaecologists of Canada.

RECOMMENDATIONS

The levels of evidence are not adequate for evidence-based recommendations to be made.

Prescription drug use in pregnancy: a retrospective, population-based study in British Columbia, Canada (2001-2006)

BACKGROUND

Owing to the paucity of evidence available on the risks and benefits of drug use in pregnancy, the use of prescription medicines is a concern for both pregnant women and their health care providers.

OBJECTIVE

The aim of this study was to measure the frequency, timing, and type of medicines used before, during, and after pregnancy in a Canadian population.

METHODS

This retrospective cohort analysis used population-based health care data from all pregnancies ending in live births in hospitals in British Columbia from April 2001 to June 2006 (n = 163,082). Data from hospital records were linked to those in outpatient prescription-drug claims. Data from prescriptions filled from 6 months before pregnancy to 6 months postpartum were analyzed. Drugs were classified by therapeutic category and US Food and Drug Administration (FDA) pregnancy risk categories.

RESULTS

Prescriptions were filled in 63.5% of pregnancies. Evidence on safety is limited for many of the medicines most frequently filled in pregnancy, including codeine, salbutamol, and betamethasone. At least 1 prescription for a category D or X medicine was filled in 7.8% of pregnancies (5.5% category D; 2.5% category X). The most frequently filled prescriptions for category D drugs were benzodiazepines and antidepressants. The most frequently filled prescriptions for category X drugs were oral contraceptives and ovulation stimulants filled in the first trimester.

CONCLUSIONS

The majority of pregnant women in British Columbia filled at least 1 prescription, and ~1 in 13 filled a prescription for a drug categorized as D or X by the FDA. The prevalence of maternal prescription drug use emphasizes the need for postmarketing evaluation of the risk-benefit profiles of pharmaceuticals in pregnancy. Future research on prenatal drug use based on administrative databases should examine maternal treatment adherence and the determinants of maternal drug use, considering maternal health status, sociodemographics, and the characteristics and providers of prenatal care.

Management of prescription and nonprescription drug use during pregnancy

OBJECTIVE

To assess screening and treatment patterns of obstetrician-gynecologists regarding medication use during pregnancy.

METHODS

A questionnaire was mailed to 770 members of the American College of Obstetricians and Gynecologists who participate in the Collaborative Ambulatory Research Network.

RESULTS

The response rate was 58%. Most respondents reported always asking pregnant patients about use of over-the-counter (OTC) (86%) and prescription (98%) drugs; 24% reported not always asking about alternative medications. Far fewer reported always asking nonpregnant patients about use of alcohol (67%), illegal drugs (51%) and OTC medications (52%) than pregnant patients. Two-fifths (41%) reported prescribing a medication during pregnancy for which they had insufficient information about potential effects on the fetus; nearly half (47%) reported that there are medical conditions for which they would like to prescribe medications but do not due to insufficient safety information. Physician responses indicate that they are less likely to refer pregnant than nonpregnant patients to a specialist for treatment of certain conditions.

CONCLUSIONS

These results indicate that obstetrician-gynecologists sometimes prescribe medications for pregnant patients under less than optimal conditions and emphasize the importance of generating up-to-date information on effects of medications during pregnancy and having it readily available to health care providers.