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Compans MC, Beaujouan É. De la mise en couple à la première naissance. Le rôle de l’âge à la première cohabitation dans l’entrée en maternité et en paternité. POPULATION 2022. [DOI: 10.3917/popu.2203.0439] [Citation(s) in RCA: 0] [Impact Index Per Article: 0] [Reference Citation Analysis] [Track Full Text] [Journal Information] [Subscribe] [Scholar Register] [Indexed: 12/23/2022]
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Beaujouan É, Toulemon L. European countries with delayed childbearing are not those with lower fertility. GENUS 2021. [DOI: 10.1186/s41118-020-00108-0] [Citation(s) in RCA: 4] [Impact Index Per Article: 1.3] [Reference Citation Analysis] [Abstract] [Track Full Text] [Journal Information] [Subscribe] [Scholar Register] [Indexed: 11/10/2022] Open
Abstract
AbstractAt the individual level, a very strong negative relationship is observed between age at first birth and total number of children. However, at the country level, it is possible that no relationship exists between factors that reduce fertility at younger ages and stimulate it at older ages. Hence, across countries, the size of the decline in youth fertility is potentially unrelated to the size of the increase in fertility at older ages or the decline in total fertility. We study the fertility of women and their age at childbirth, with particular attention to their evolution over the last 40 years in countries across Europe. Comparing these countries, the increase in births after age 30 has occurred relatively independently of the decline at younger ages according to both period and cohort, and we find no positive relationship between the delay of first birth and decline in total fertility. On the contrary, an inverse relationship evidently exists at the country level, as longer delays generally correspond to smaller declines in total fertility. Context effects largely dominate individual constraints and play an important role in the occurrence of later births.
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Simulating family life courses: An application for Italy, Great Britain, Norway, and Sweden. DEMOGRAPHIC RESEARCH 2021. [DOI: 10.4054/demres.2021.44.1] [Citation(s) in RCA: 0] [Impact Index Per Article: 0] [Reference Citation Analysis] [Track Full Text] [Journal Information] [Subscribe] [Scholar Register] [Indexed: 11/05/2022] Open
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Costemalle V. Vivre en couple pour la deuxième fois. POPULATION 2019. [DOI: 10.3917/popu.1901.0155] [Citation(s) in RCA: 0] [Impact Index Per Article: 0] [Reference Citation Analysis] [Track Full Text] [Journal Information] [Subscribe] [Scholar Register] [Indexed: 11/14/2022]
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Vincent J. La mise à l’épreuve des cadres temporels de la recomposition familiale : les effets de la naissance d’un enfant commun en famille recomposée. ENFANCES, FAMILLES, GÉNÉRATIONS 2018. [DOI: 10.7202/1051498ar] [Citation(s) in RCA: 0] [Impact Index Per Article: 0] [Reference Citation Analysis] [Abstract] [Track Full Text] [Journal Information] [Subscribe] [Scholar Register] [Indexed: 11/17/2022] Open
Abstract
Cadre de la recherche : Cet article s’appuie sur une recherche sociologique portant sur les naissances en familles recomposée. Il prend pour point de départ la tension à laquelle sont confrontées ces familles, qui doivent composer avec la recherche d’un recommencement pour le nouveau couple et la prégnance d’un passé non partagé, que les enfants des précédentes unions incarnent symboliquement et physiquement.
Objectifs : La question du temps est essentielle pour comprendre ce qui se joue dans le processus de recomposition familiale et se pose avec d’autant plus acuité qu’elle met en jeu la définition des liens de parenté. Un projet d’enfant commun semble marquer le point d’orgue de ce souhait de nouveau départ et contribuer à écrire une histoire commune pour les protagonistes de la recomposition familiale.
Méthodologie : A partir d’entretiens menés en France auprès de 7 hommes et 9 femmes à la tête d’une famille recomposée et ayant eu avec leur conjoint actuel un nouvel enfant, nous souhaitons interroger l’effet de la naissance d’un enfant commun sur les cadres temporels de la recomposition familiale.
Résultats : Si la naissance d’un enfant commun forge un temps mémoriel à charge forte affective, et permet de projeter un maintien des liens quoiqu’il advienne du nouveau couple, elle confronte aussi les nouveaux parents à l’impossible jonction de leurs trajectoires antérieures distinctes. Cette désynchronisation pèse dans les négociations et distingue hommes et femmes, ainsi que déjà-parents et primo-parents. Par ailleurs, une fois l’enfant né, sa présence ininterrompue au sein du foyer recomposé face aux allées et venues des enfants issus d’une autre union, fait office de rappel de l’atypique de la situation familiale des protagonistes.
Conclusion : Un véritable agencement et un travail réflexif sont opérés pour rythmer au mieux la vie quotidienne du foyer recomposé, déjà confronté, à ses prémisses, à un cycle de vie familiale inhabituel.
Contribution : En filigrane, semblent émerger des normes de « bonne » temporalité de recomposition.
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Affiliation(s)
- Justine Vincent
- doctorante en sociologie au Centre Max Weber (UMR 5283), ENS de Lyon
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Négroni C. Bifurcations conjugales, remises en couple et place de l’enfant : donner du temps au temps, pour inventer d’autres configurations familiales. ENFANCES, FAMILLES, GÉNÉRATIONS 2018. [DOI: 10.7202/1051497ar] [Citation(s) in RCA: 0] [Impact Index Per Article: 0] [Reference Citation Analysis] [Abstract] [Track Full Text] [Journal Information] [Subscribe] [Scholar Register] [Indexed: 11/17/2022] Open
Abstract
Cadre de la recherche : De nombreux travaux se sont intéressés à la complexité des familles recomposées ; cependant, on compte moins de recherches qualitatives sur les bifurcations conjugales et les configurations familiales post-rupture visant à éclairer l’incidence des enfants dans la remise en couple des parents.
Objectifs : Le présent article interroge les temporalités recomposées et, plus particulièrement, les temps synchrones et asynchrones des rôles parentaux et conjugaux, comment la famille se défait et se recompose à travers le rôle et la place de l’enfant dans les remises en couples.
Méthodologie : L’enquête qualitative a été réalisée dans une ville moyenne de France, auprès d’hommes et de femmes en situation de post-rupture. Nous avons recueilli trente récits de vie, soit seize récits de femmes, onze récits d’hommes et trois entretiens de personnes en couple homoparental.
Résultats : Nos principaux résultats font état de parcours de remise en couple assez différenciés, en regard du capital économique et social acquis, de la catégorie socio-professionnelle, du genre, mais aussi en fonction de la place et de l’âge des enfants. Les remises en couple sont genrées. Les temps de remise en couple sont plus longs pour les femmes lorsqu’elles ont la garde principale des enfants. L’âge à la séparation est apparu déterminant dans les parcours de remise en couple des femmes.
Conclusions : Ce travail questionne la parentalité en regard de la remise en couple : comment le couple parental continue-t-il d’exister en dépit de la cessation du couple conjugal ?
Contribution : Dans une approche qualitative, cette étude analyse les reconfigurations familiales post-rupture et montre que la parentalité vient entrechoquer la conjugalité dans des configurations familiales constamment renégociées.
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