Primary malignant melanoma of prostate

Primary genitourinary melanoma accounts for less than one per cent of all cases of melanoma. Most cases attributed to the prostate actually originate from the prostatic urethra. Due to its infrequency, primary malignant melanoma of the genitourinary tract presents a difficult diagnostic and management challenge. We report a case of primary malignant melanoma of the prostate found during transurethral resection of the prostate.

Les tumeurs testiculaires à cellules de Leydig: à propos de quatre cas et revue de la littérature

Introduction

Les tumeurs testiculaires à cellules de Leydig (TTCL) sont rares, elles représentent entre 1 et 3 % de l’ensemble des tumeurs testiculaires, ce sont les plus fréquentes des tumeurs des cordons sexuels et du stroma. Ces tumeurs se développent le plus fréquemment (55 %) chez les sujets jeunes de 15 à 35 ans, mais elles peuvent se voir aussi chez les enfants lors de la première décennie (20 %) et chez les hommes après 50 ans (25 %). Le mode de révélation le plus fréquent chez l’adulte est la gynécomastie, par contre chez l’enfant, c’est la pseudopuberté précoce isosexuelle. Elles posent le problème de leur diagnostic biologique devant des formes non palpables et du choix de leur traitement chirurgical en raison de la difficulté diagnostique entre les formes bénignes et malignes.

Matériel et méthodes

Nous rapportons quatre présentations différentes de cette pathologie dont les paramètres étudiés seront l’âge, le mode de révélation, le profil hormonal, le type de traitement et le mode évolutif.

Résultats

L’âge moyen de nos patients était de 37 ans et demi. Le mode de révélation était deux fois sur quatre en rapport avec une grosse bourse unilatérale, une fois pour grosse bourse bilatérale, une fois en rapport avec une gynécomastie. Dans tous les cas, la testostérone était normale ou basse et l’estradiol normal ou élevé. Les quatre patients ont subi une orchidectomie associée à une énucléation controlatérale chez un seul des patients. L’évolution était favorable pour tous nos patients, avec un recul moyen de 15 mois.

Conclusion

Le but de cette revue est de présenter, sur la base de quatre observations cliniques différentes et de l’analyse de la littérature, les différents aspects cliniques, biologiques, radiologiques pathologiques et thérapeutiques des TTCL.

Transitional cell carcinoma of the ovary: a rare case and review of literature

Introduction

Transitional cell carcinoma (TCC) of the ovary is a rare, recently recognized, subtype of ovarian surface epithelial cancer.

Case presentation

A 69-year-old postmenopausal woman presented with a 2-year history of progressive enlargement of an abdominal mass. Abdominal computed tomography showed a pelvic mass. CA-125 was normal. A staging operation with total abdominal hysterectomy, bilateral salpingo-oophorectomy, infracolic omentectomy and pelvic lymph node dissection was performed. After surgery, the pathologic report of the right ovarian tumour was TCC, grade 3, stage IC. The patient underwent 3 cycles of chemotherapy: carboplatin and paclitaxel. She is regularly followed up and has been disease free for 10 months

Conclusion

Transitional cell carcinoma (TCC) of the ovary is a rare subtype of epithelial ovarian cancer. Surgical resection is the primary therapeutic approach, and patient outcomes after chemotherapy are better than for other types of ovarian cancers.

Chronic spontaneous nephrocutaneous fistula associated with renal replacement lipomatosis

Chronic spontaneous nephrocutaneous fistula is a rare renal disease. Renal replacement lipomatosis (RRL) is the result of the atrophy and destruction of renal parenchyma with massive increases in the amount of fat in the sinus and perirenal space. The 2 conditions can be associated because they may have the same etiology. Indeed, urolithiasis is the most common cause of these diseases. We report a case of chronic nephrocutaneous fistula associated with RRL due to both urolithiasis and renal tuberculosis.

Tumeur testiculaire bilatérale synchrone à cellules de Leydig: à propos d’un cas

Les tumeurs testiculaires à cellules de Leydig sont rares, elles représentent entre 1 et 3 % de l’ensemble des tumeurs testiculaires. L’atteinte bilatérale synchrone est exceptionnelle. Découverte dans 20 % des cas lors de la première décennie, elle peut être retrouvée dans toutes les tranches d’âge, le diagnostic étant effectué après 50 ans dans 25 % des cas. Le diagnostic est classiquement suspecté devant une anomalie sécrétoire intéressant les hormones sexuelles et seule l’histologie confirme le diagnostic. Nous rapportons le cas d’un patient âgé de 25 ans qui présente une tumeur bilatérale synchrone à cellules de Leydig traité par orchidectomie unilatérale et tumorectomie controlatérale.