Multicentre Observational Study of Treatment Satisfaction with Cladribine Tablets in the Management of Relapsing Multiple Sclerosis in the Arabian Gulf: The CLUE Study

INTRODUCTION

Inconvenient administration and side effects of some disease-modifying therapies (DMTs) for relapsing multiple sclerosis (RMS) can deter adherence. We evaluated treatment satisfaction with cladribine tablets (CladT) for RMS in the Arabian Gulf.

METHODS

This was a non-interventional, multicentre, prospective observational study in non-pregnant/lactating adults (aged ≥ 18 years) with RMS eligible for 1st treatment with CladT (EU labelling). The primary outcome was overall treatment satisfaction at 6 months (Treatment Satisfaction Questionnaire for Medication [TSQM]-14, v. 1.4), Global Satisfaction subscale. Secondary endpoints were TSQM-14 scores for convenience, satisfaction with side effects and satisfaction with effectiveness. Patients provided written informed consent.

RESULTS

Of 63 patients screened, 58 received CladT and 55 completed the study. Mean age was 33 ± 9 years; mean weight 73 ± 17 kg; 31% male/69% female; mostly from the United Arab Emirates (52%) or Kuwait (30%). All had RMS (mean 0.9 ± 1.1 relapses in the past year), mean Expanded Disability Status Scale (EDSS) 1.4 ± 1.2; 36% were DMT-naïve. Mean [95% CI] score was high for overall treatment satisfaction (77.8 [73.0-82.6]), ease of use (87.4 [83.7-91.0]), tolerability (94.2 [91.0-97.3]) and effectiveness (76.2 [71.6-80.7]). Scores were similar irrespective of DMT history, age, gender, relapse history or EDSS. No relapses or serious treatment-emergent adverse events (TEAE) occurred. Two severe TEAE occurred (fatigue, headache) and 16% reported lymphopenia (two cases of grade 3 lymphopenia). Absolute lymphocyte counts at baseline and 6 months were 2.2 ± 0.8 × 109/L and 1.3 ± 0.3 × 109/L, respectively.

CONCLUSIONS

Treatment satisfaction, ease of use, tolerability and patient-perceived effectiveness for CladT were high, irrespective of baseline demographics, disease characteristics and prior treatment.

Infection nosocomiale et clusters intra hospitalier d'infection à SARS cov 2 dans un centre hospitalier Général : Bilan d'une année de pandémie

Introduction

La mise à disposition large des tests PCR SARS cov2 et la stratégie de dépistage systématique autour d'un cas a permis de mettre en évidence la survenue de transmissions croisées entrainant des infections nosocomiales au sein des services de soins. Un cluster est défini par la présence d'au moins 3 cas dans un service de soins dans un délai de 14 jours. L'objectif de l'étude est de définir le nombre de cas d'infection nosocomiale et de phénomène de cluster hospitalier aux décours de la 2ème et 3ème vague d'infection à SARS cov 2 dans un centre hospitalier Général.

Matériels et méthodes

Etude rétrospective des infections nosocomiales et des clusters intra hospitalier entre avril 2020 et avril 2021 L'infection nosocomiale est définie par la négativité d'une PCR d'entrée et la positivité d'une PCR à plus de 7 jours de l'entrée. Un cluster est défini par au moins trois cas d'infection nosocomiale dans une même unité de lieux et de temps (14jours). La deuxième vague comprend les cas identifiés entre les mois d'octobre et décembre 2020 et janvier avril 2021 pour la troisième.

Résultats

Quatre mille deux cents cinq PCR positives ont été détectées entre avril 2020 et avril 2021. Le nombre covid nosocomiaux était de 123 des 1654 patients hospitalisés (7.4 %) et ayant un diagnostic virologique d'infection à SARScov2. Cent onze (79 %) des cas nosocomiaux étaient liés à des clusters. Durant la deuxième vague, 14 clusters ont été détectés dans 8 services différents (moyenne de 5 patients par épisodes avec au minimum 3 et au maximum 18 patients par cluster). Pendant la troisième vague, 4 clusters ont été identifiés dans 4 services. La durée moyenne de résolution des clusters a été de 14 jours. Les clusters ont été détectés pour 58 cas (47 %)en secteur médecine chirurgie obstétrique et pour 65 (53 %) cas en secteur soins de suite et rééducation.

La moyenne d'âge des cas nosocomiaux était de 83 ans, 85,37 % présentaient au moins une comorbidité et la mortalité a été de 22,76 % contre 19 % pour les cas communautaire (Xhi² = 1.03 NS).

Conclusion

L'acquisition nosocomiale du virus SARS cov 2 a été est un phénomène bien réel entrainant une surmortalité en milieu hospitalier. Ces données patients permettent de justifier les mesures spécifiques comme la vaccination précoce et obligatoire des personnels soignants et des patients à risque, un renforcement des mesures d'hygiène et un contrôle des visites.

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Facteurs associés au portage de BMR à l'entrée en réanimation des patients infectés par la COVID-19 : analyse de cohorte rétrospective

Introduction

Une étude précédente réalisée dans notre hôpital, montrait un taux de portage de bactéries multirésistantes (BMR) à l'entrée en réanimation, chez les patients développant une pneumopathie acquise sous ventilation, différent chez les patients infetés par la COVID-19 par rapport aux non infectés (30 % VS 16 %, p=0,043). Nous avons analysé les facteurs de risque (FDR) d'un tel portage et son impact sur la survie des patients.

Matériels et méthodes

Analyse rétrospective, monocentrique, des patients hospitalisés en service de réanimation ou de soins continus pour une infection à COVID-10 pendant les vagues 1 (01/03/20 au 01/05/20) et 2 (15/10/21) ayant bénéfié d'un dépistage systématique de BMR à leur entrée dans le service.

Résultats

141 patients (98 homes et 43 femmes) ont été inclus dans l'étude, 68 durant la première vague et 73 durant la seconde. 24 des 141 patients (17 %) étaient porteurs de BMR à l'entrée en réanimation. Nous n'observons pas de différence significative du taux de portage entre les deux vagues (13/68 (19 %) et 11/73 (15 %) patients respectivement p=0,65).

Les facteurs associés au portage de BMR sont le passage dans une strucutre d'hospitalisation autre que notre hôpital (p=0,02) en particulier chez les patients venant d'une autre réanimation (5/13, 38,5 %), d'un service d'urgences (2/6, 33 %) ou d'une unité conventionnelle (6/24, 25 %) par rapport à ceux directement hospitalisés dans la réanimation de notre hôpital (11/98, 11,2 %).

L'autre FDR de portage de BMR est l'exposition à une antibiothérapie au cours de la période d'hospitalisation ayant précédée la réanimation ou les soins continus, notamment aux Bêta-lactamines (13/49 vs 11/92, p=0,035) et aux macrolides (10/30 vs 14/111, p=0,01).

Nous n'avons pas retrouvé d'association significative avec les FDR usuels tels que : vie en institution, présence d'une néoplasie en cours de traitement, traitement immunosuppresseur ou BPCO. Il n'y a pas non plus de différence liée à la consommation d'antibiotiques en ambulatoire dans les 15 jours précédents l'hospitalisation (3/24 (13 %) vs 21/118 (17 %) p=0,76) ou la durée d'hospitalisation avant le transfert en réanimation (2.1 vs 2.3 jours p=0,86).

Dans notre étude, le portage de BMR à l'entrée en réanimation est associée à un sur-risque de mortalité avec un taux de survie de 41,7 % (10/24) chez les patients porteurs de BMR contre 67,2 % (79/117) chez les patients non porteurs de BMR (p=0,02).

Conclusion

Le portage de BMR à l'entréer en réanimation ou soins continus chez les patients infectés par la COVID-19 dans notre hôpital est significativement associé au transfert depuis un autre hôpital et à la prise d'antibiotiques en hospitalisation conventionnelle avant l'admission en service réanimatoire, notamment la prise de Bêta-lactamines et/ou de macrolides. Ce portage est associée à une mortalité plus élevée.

Aucun lien d'intérêt

Does a 5-day course of antibiotics in elderly patients with community-acquired pneumonia achieve the established criteria of clinical stability?

OBJECTIVE

We aimed to determine the proportion of elderly patients hospitalised for community-acquired pneumonia (CAP) in whom a 5-day antibiotic therapy would achieve clinical stability according to American Thoracic Society (ATS) criteria.

METHODS

Patients aged≥75 years, hospitalised for CAP between November 2018 and August 2019, were analysed retrospectively. The American Thoracic Society (ATS) clinical stability criteria (temperature≤37°C, heart rate≤100/min, respiratory rate≤24/min, systolic blood pressure≥90mmHg, oxygen saturation≥90% in room air) were assessed after five days of antibiotic therapy.

RESULTS

Seventy-five patients (mean age 88 years, 49% requiring oxygen therapy) were included. Six died, and at day 5, 36/69 (52%) fulfilled 4/5 stability criteria. The median duration of treatment was 9 days. In 28 patients (41%), it was ≤7 days.

CONCLUSION

In 52% of elderly patients with CAP, a 5-day treatment regimen resulted in clinical stability.

Prevalence of physical activity and sedentary-related behaviors among adolescents: data from the Qatar National School Survey

OBJECTIVES

To investigate the prevalence of physical activity (PA) and sedentary behaviors among adolescents in Qatar by selected demographic characteristics.

STUDY DESIGN

Cross-sectional study.

METHODS

A total of 5862 students (2938 boys and 2924 girls) in the age group 12-17 years were included in the analyses. PA and sedentary-related measures were obtained from the self-reported survey questions.

RESULTS

Only 35.4% of students were performing 60 min of PA ≥3 days/week. The proportion of students with >2 hr screentime ranged from 43% to 57% (weekdays) and 50% to 62.5% (weekends). Girls had less odds of being physically active than the boys (odds ratio [OR] = 0.61, P < 0.001). Qatari students were less likely to be physically active than non-Qataris (OR = 0.79, P < 0.001). Age was inversely correlated with PA ([r = -0.113, P < 0.001 for participation with sports team] and [r = -0.139, P < 0.001 for school physical education classes]). Participation in sports teams positively correlated with 60 min of PA number of days in a week (r = 0.317, P < 0.001).

CONCLUSIONS

The study describes insufficient PA among youth as a public health issue of concern in the State of Qatar that requires multipronged health promotion initiatives.

A cluster of pediatric metallic mercury exposure cases treated with meso-2,3-dimercaptosuccinic acid (DMSA)

Nine children and their mother were exposed to vapors of metallic mercury. The source of the exposure appears to have been a 6-oz vial of mercury taken from a neighbor's home. The neighbor reportedly operated a business preparing mercury-filled amulets for practitioners of the Afro-Caribbean religion Santeria. At diagnosis, urinary mercury levels in the children ranged from 61 to 1,213 microg/g creatinine, with a geometric mean of 214.3 microg/m creatinine. All of the children were asymptomatic. To prevent development of neurotoxicity, we treated the children with oral meso-2,3-dimercaptosuccinic acid (DMSA). During chelation, the geometric mean urine level rose initially by 268% to 573.2 microg mercury/g creatinine (p<0.0005). At the 6-week follow-up examination after treatment, the geometric mean urine mercury level had fallen to 102.1 microg/g creatinine, which was 17.8% of the geometric mean level observed during treatment (p<0.0005) and 47.6% of the original baseline level (p<0.001). Thus, oral chelation with DMSA produced a significant mercury diuresis in these children. We observed no adverse side effects of treatment. DMSA appears to be an effective and safe chelating agent for treatment of pediatric overexposure to metallic mercury.

An in vivo model of femtosecond laser intrastromal refractive surgery

BACKGROUND AND OBJECTIVE

To develop an animal model for evaluation of femtosecond laser intrastromal refractive surgery.

METHODS

Intrastromal photodisruption was performed in New Zealand Albino rabbits using a femtosecond laser system. This surgical pattern consisted of a 100 microm-tick pyramid of laser pulses starting 180 microm below the corneal surface. Animals underwent serial slit lamp examinations and corneal thickness measurements at 1,3,7,14, and 28 days, then monthly up to 1 year.

RESULTS

Approximately 70 microm of central corneal thinning were seen at 1 week, remaining stable up to 7 months.

CONCLUSIONS

Intrastromal photodisruption with femtosecond lasers produced consistent changes in corneal thickness without loss of corneal transparency. These changes were more stable than those produced with excimer laser procedures in a similar animal model.

[Simultaneous traumatic dislocations of the index finger. Apropos of a case with review of the literature]

A new case of simultaneous dislocation of the proximal and distal interphalangeal joints on the same digit is reported. This injury is uncommon in the index. The forces were applied to the finger tip in hyperextension position. Closed treatment provided a good result with full range of motion. Therapeutic options are discussed.

Hyperactivation of the silencing proteins, Sir2p and Sir3p, causes chromosome loss

The SIRgene products maintain transcriptional repression at the silent mating type loci and telomeres in Saccharomyces cerevisiae, although no enzymatic or structural activity has been assigned to any of the Sir proteins nor has the role of any of these proteins in transcriptional silencing been clearly defined. We have investigated the functions and interactions of the Sir2, Sir3, and Sir4 proteins by overexpressing them in yeast cells. We find that Sir2p and Sir3p are toxic when overexpressed, while high Sir4p levels have no toxic effect. Epistasis experiments indicate that Sir2p-induced toxicity is diminished in strains lacking the SIR3 gene, while both Sir2p and Sir4p are required for Sir3p to manifest its full toxic effect. In addition, the effects of Sir2 or Sir3 overexpression are exacerbated by specific mutations in the N-terminus of the histone H4 gene. These results are consistent with a model in which Sir2p, Sir3p and Sir4p function as a complex and interact with histones to modify chromatin structure. We find no evidence that toxicity from high levels of the Sir proteins results from widespread repression of transcription. Instead, we find that high levels of Sir2p and/or Sir3p cause a profound decrease in chromosome stability. These results can be appreciated in the context of the effects of Sir2p in histone acetylation and of chromatin structure on chromosome stability.

[Transverse fracture of the body of C2. Apropos of a case]

INTRODUCTION

A new fracture of the body of C2 is described. The mechanism is an axial compression producing a body sagittal fracture spreading to the posterior arch with a separation effect.

CASE REPORT

A 29 years old female fell from the second floor. Examination showed a head injury and upper neck stiffness. Specific radiological signs was reported on the standard X-ray. The fracture involved the body and the lamina of C2 with a sagittal separation. No neurological abnormality was detected. CT scan provided additional information and allowed the survey of bone healing. Non operative treatment was undertaken by minerva jacket for four months carying complete recovery.

DISCUSSION

The mechanism of this fracture seems to be similar to Jefferson's fracture. Review of the literature showed that fractures of the body of C2 are uncommon. Their different types are discussed.